Sunday, April 22
Le film est travaillé par la bestialité qui est en nous à la fois comme une menace et un destin. C'est une force vitale et très solaire. Les chiens, le soleil et la petite enfance sont pour moi étrangement proches. Cette menace d'être dévoré se déploie par ailleurs, autrement, dans l'angoisse de pénétrer les corps.
— Philippe Grandrieux